Braquages de salons

Les coiffeuses miramasséennes font fuir leurs agresseurs

Le personnel du salon "Guy Coiffure" de Miramas est parvenu hier soir à repousser deux hommes armés qui tentaient de dérober la caisse. Le commerce avait déjà été la cible d'un braquage et de deux cambriolages.

Hier soir vers 18 heures à Miramas deux hommes armés de "pistolets" pénètrent dans le salon "Guy Coiffure" situé dans une rue parallèle à la gare. Plusieurs clientes et une enfant de cinq ans sont sur place avec les trois coiffeuses. Les deux hommes, qui ont chacun le visage masqué par une cagoule et une écharpe, cherchent à se faire remettre la caisse de l'établissement. La responsable du commerce sera même bousculée par l'un des deux agresseurs.
Malgré le stress provoqué par les menaces des deux hommes, le personnel arrivera finalement à les mettre en fuite ! Aucun coup de feu n'a été tiré. Les deux hommes sont partis sans emporter le contenu de la caisse. Après avoir porté plainte, la gérante du commerce a affiché un mot sur sa vitrine : " deux braquages, deux cambriolages : il y en a marre !"

Vol à main armée à la Sentinelle: Un passant fait fuir les braqueurs

Le vol à main armée a mal tourné pour ces quatre malfrats. Tout du moins pour l'un d'entre-eux, aujourd'hui en détention à l'établissement pénitentiaire pour mineurs de Quiévrechain.

Les faits se déroulent le 25 novembre dernier à La Sentinelle. Dans la journée de ce jeudi, quatre individus au visage dissimulé derrière des écharpes et capuches pénètrent dans le Hair Line, un salon de coiffure situé rue Charles Basquin. L'un de ces quatre jeunes braque une employée de l'établissement à l'aide d'une arme (qui s'avérera factice) et lui inflige, après l'avoir fait mettre accroupie, un coup de pied dans le dos, ce qui lui vaudra quatre jours d'ITT. Les trois autres tiennent en respect les clients présents et la seconde employée à l'aide de gaz lacrymogène. Encore une fois, comme on le constate bien souvent dans ce genre de faits, le butin convoité est dérisoire: 90 euros. Mais cette fois-ci, le braquage ne tournera pas comme espéré... Un passant remarque en effet la scène, de l'extérieur, et décide d'intervenir. Il rentre dans le salon et parvient à désarmer l'un des auteurs, tandis que ses trois complices prennent la fuite. Le jeune homme s'enfuit à son tour et va se réfugier dans le hall d'un immeuble. Mais plusieurs témoins l'ont vu, et les policiers, rapidement sur place, l'interpellent sans mal. Ses trois comparses courent toujours.

Rouen : Il vole 20 € sous la menace d'un couteau

Braquage peu ordinaire constaté mardi soir, vers 18 h 50, dans un institut de beauté de la rue Cideville à Rouen. Un homme masqué a fait irruption dans la boutique. Il était armé d'un couteau.

Il a menacé l'employée présente afin de s'emparer du fond de caisse, soit seulement une vingtaine d'euros. L'homme a ensuite pris la fuite en direction de la place Saint-Marc. La police a entamé des recherches.

Nadir K., Soufian B. et Linton K. avaient fait irruption, le 7 mars 2011, en fin d'après-midi, dans le salon de coiffure Lawrence Kazan sur l'avenue Louise. Les gangsters avaient ordonné au coiffeur, Lawrence Kazan en personne, présent ce jour-là dans ce salon de sa chaîne, de leur donner le contenu de la caisse. Ils l'avaient jeté au sol et traîné jusqu'au comptoir. Ils n'avaient pu emporter que les 50 euros que contenait la caisse, des GSM et un I-pad. En fuyant, ils avaient encore vaporisé des substances lacrymogènes, dans le salon, vers le coiffeur renommé et ses apprentis.

Un témoin en rue avait noté le numéro de la plaque d'immatriculation de la voiture avec laquelle les auteurs avaient fui. Il s'agissait du véhicule de l'un des trois, Soufian B. Interpellé, le jeune homme a tout de suite avoué les faits. Il avait ajouté que c'était sa petite amie, qui travaillait dans le salon de coiffure, qui l'avait informé qu'il y avait une enveloppe avec la mention "25 euros" dans la caisse. Interrogée à son tour, elle avait livré les noms des deux complices de son petit ami.

Jeudi dernier, deux jeunes vêtus de noirs et cagoulés entrent dans un salon de coiffure à Hohengoeft, village de 534 habitants. Seul l'un d'eux, Mike Schumacher, âgé de 18 ans et résidant à Oermingen est majeur; il dirige les opérations. Munis chacun d'une arme, qu'ils affirmeront ensuite être fausses, les deux complices se font remettre un peu plus de 300 euros ainsi qu'un téléphone portable. Ils prennent la fuite sur une moto qu'ils dissimulent ensuite dans un véhicule utilitaire.
Le plus âgé d'entre eux comparaissait hier à Saverne.
Il a écoppé d'un an de prison ferme.

Un salon de coiffure a été braqué aujourd'hui peu après 17 heures, montée Lucien-Magnat à Pont-Evêque, par un homme encagoulé. Arme de poing à la main, il a menacé une employée et une apprentie avant de repartir avec la caisse soit environ 150 €.

Un individu, le visage dissimulé sous une cagoule a fait irruption jeudi vers 18 h 30 dans un salon de coiffure située rue Commerciale, à Villeneuve-Tolosane. L'homme a exhibé un couteau de cuisine en menaçant la responsable et une employée du magasin. Il a exigé de se faire remettre le contenu de la caisse. Le braqueur a pris la fuite en emportant quelques dizaines d'euros.

Les braqueurs en prison

Les auteurs du vol à main armé chez un coiffeur angloy ont été condamnés hier.

« Une comparution immédiate, cela ne veut pas dire que c'est moins grave », a sermonné le procureur. Vu le jeune âge des deux prévenus, il a estimé qu'un peu de pédagogie ne fait pas de mal. « Un vol à main armée, c'est un crime, c'est prison en préventive pendant plusieurs années, puis cour d'assises avec des jurés qui peuvent infliger la peine maximale de 30 ans de réclusion. » En correctionnelle à Bayonne, les deux braqueurs de 18 et 20 ans qui ont menacé le patron d'un salon de coiffure vendredi dernier d'un pistolet à plomb (voir notre édition de samedi) encourent sept ans de prison.

Le couple cultive, sans doute à son insu, un côté Bonnie and Clyde. La présidente leur rappelle que cela s'est fort mal fini pour ces deux-là.

À leur insu aussi, avocat ou magistrat témoignent d'une bienveillance inhabituelle dans les prétoires en les nommant par leurs prénoms accolés, « Emma et Jordan ». Frêles et effrontés à la fois, ils se serrent devant la barre et portent sur eux l'empreinte d'enfances passées entre foyers et familles d'accueil.

Tous deux ont été interpellés moins de deux heures après les faits, les 350 euros volés glissés dans leurs sous-vêtements. Ils ont donné aux policiers la même version de l'organisation de l'entreprise, tergiversant sur quelques détails et expliquant mal leurs motivations.

Le procureur s'inquiète de la facilité du passage à l'acte, particulièrement encouragé par l'attitude d'Emma. Contrairement à son compagnon qui tenait l'arme, elle n'a pas failli pendant le vol et pas regretté après.

Le tribunal a appliqué les mises à l'épreuve à visée éducative demandées par le parquet et renvoyé tous deux dormir ce soir en prison et ce pour un an, assorti d'un sursis d'un an encore.

Plusieurs adolescents âgés de 15 à 17 ans ont été interpellés jeudi par les policiers maubeugeois, quatre jours après une tentative de braquage ayant lamentablement échoué dans un salon de coiffure de Ferrière-la-Grande.

Lundi en effet, le coiffeur du salon Hair Design, rue Casimir-Fournier, avait reçu la visite d'un individu porteur d'une arme de poing, le visage dissimulé par une cagoule, et qui lui avait réclamé la caisse. Le coiffeur aurait refusé et exploité la surprise de l'intrus pour le menacer, finissant par le mettre en fuite.

Sur la base d'un signalement de riverain, les policiers ont convoqué un premier adolescent vu en train de prendre la fuite en courant au moment du braquage.

Ce dernier aurait reconnu avoir fait le guet près du salon de coiffure pour un complice, également interpellé. Les perquisitions ont permis de mettre la main, au domicile du « guetteur » présumé, sur des armes factices de style airsoft et sur des vêtements conformes aux descriptions des témoins, ainsi qu'un pistolet 22 long rifle et une cagoule au domicile du braqueur présumé.

Au cours des interrogatoires de garde à vue, un rapport a été établi avec un autre vol dans un commerce de proximité, survenu il y a deux mois, le 12 février, à quelques centaines de mètres du salon de coiffure. Le point chaud ferriérois la Fournée avait dû en effet se délester de son fonds de caisse, emporté par un individu jeune, armée et le visage dissimulé.

Si le braqueur du salon de coiffure, âgé de 17 ans et déjà défavorablement connu par la justice des mineurs, serait également selon les enquêteurs celui de la Fournée, un troisième adolescent a été interpellé hier, soupçonné d'avoir monté la garde au cours du braquage du 12 février. En revanche, tout lien avec l'attaque d'un VRP de rachat d'or, à la sortie du café ferriérois le Narval le 14 mars serait exclu.

Les trois adolescents ont été déférés hier après-midi devant le juge pour enfants d'Avesnes-sur-Helpe, qui officie en tant que juge d'instruction pour les mineurs. Des mises en examen étaient à prévoir.

Vendredi 27 avril, 19 h, au salon Coiffure institut prestige, rue du Faubourg-de-Roubaix à Lille. Isabelle et Lucie (*) ont salué leur dernier client lorsqu'un inconnu se présente. « Il a dit "C'est un braquage" mais on n'a pas compris tout de suite, explique Lucie. Alors il a montré une arme dépassant de sa poche de manteau en ajoutant "Je ne rigole pas ". » L'homme agit à visage découvert. Il obtient vite la caisse (une cinquantaine d'euros), puis les cartes Sim des téléphones des deux coiffeuses, avant d'exiger leurs cartes bancaires avec les codes. « Mais là, ma collègue a refusé, reprend Lucie. Alors il a sorti une bombe lacrymogène. » « Il m'a dit "Je vais te gazer", confirme Isabelle. Moi, j'ai sorti mes ciseaux en répondant "Tu ne me fais pas peur !". Il ne les avait pas vus, ça l'a surpris. Il a avancé sa bombe vers ma tête, je me suis protégée avec mon bras et j'en ai profité pour le pousser. » Déséquilibré, le braqueur part en arrière, et les deux coiffeuses sortent du salon en appelant au secours. Leur agresseur prend la fuite. « En tout, ça a duré dix minutes.»

Territoire très large

Âgé d'une petite quarantaine d'années, mince et mesurant environ 1,80 m, l'homme est recherché par les Sûretés du Nord et de Lille, en collaboration avec les gendarmes. Les trois services enquêtent sur une série de huit braquages de salons de coiffure : à Camphin-en-Pévèle le 12 avril, Baisieux le 13, La Madeleine le 16, Orchies le 17, Wattrelos le 18, Wambrechies le 25, et Wattignies puis la rue du Faubourg-de-Roubaix à Lille le vendredi 27. Tous sont attribués au même suspect, portant ce qui semble être une arme de poing ou à canon scié, et agissant souvent à visage découvert. Le mode opératoire varie peu : l'homme demande la caisse, les téléphones portables et cartes bancaires avec codes. Parfois, il prend aussi l'argent personnel des victimes et les enferme dans les salons, le temps d'effectuer des retraits avec les cartes volées (200 E à Orchies).

Contrairement au braqueur de pharmacies qui agissait principalement à Lille en 2011, l'homme qui s'attaque aux coiffeurs travaille sur un territoire très large (la moitié du département), ce qui rend les surveillances plus difficiles.

À Lille, lundi matin, Isabelle et Lucie ont eu à nouveau un petit moment d'inquiétude, vite passé : « Vingt minutes avant le braquage, vendredi soir, il était venu une première fois mais avait vu qu'un autre client était là. Alors il avait juste pris un rendez-vous : c'était pour ce matin (lundi matin) à 11 h. Mais heureusement, il ne s'est pas présenté... »

Samedi 6 mai, en milieu d'après-midi, alors que des clientes se trouvaient à l'intérieur, un individu a braqué un salon, à l'angle de la Ricard et Jules-Ferry. Il court toujours.

Situé à l'angle de la rue Jules-Ferry et de la rue Ricard, dans le centre de Beauvais, le salon de coiffures " Coif'Elles" a été braqué, samedi 6 mai, vers 15h40. Le braqueur qui a agi vraisemblablement seul en voulait au fond de caisse. Sous la menace d'une arme, il s'est donc fait remettre l'argent avant de prendre la poudre d'escampette.

Immédiatement alertée, la police a mis en place un dispositif conséquent. Des policiers ont d'ailleurs procédé à une interpellation vers 17 heures, boulevard Amyot d'Inville, à 300 mètres des lieux mais sans suite.

La personne arrêtée a très vite été mise hors de cause. Et à cette heure, le braqueur court donc toujours. Quant aux coiffeuses mais également aux clientes présentes au moment de l'attaque, elles sont sorties fortement choquées du salon.

Ce fait en rappelle d'autres. Depuis 15 jours, un braqueur en série écume ce type de commerces.
La Madeleine, Orchies, Baisieux, Wambrechies, Wattignies, Camphin-en-Pévèle, Wattrelos, Lille... et aujourd'hui Bondues ?
Lundi en fin d'après-midi, vers 17 h 40, un individu a fait irruption à l'intérieur du salon de coiffure Style N'color implanté rue Bosquiel, à Bondues. L'homme, qui agissait à visage découvert, a menacé la responsable de l'établissement, en exhibant une arme de poing cachée dans la poche gauche de sa veste. Apeurée, la victime lui a remis l'argent liquide que contenait la caisse - 35 euros - ainsi que sa carte bleue et le code secret de celle-ci. Les faits se sont passés très vite. La coiffeuse, choquée, n'a pas été blessée lors du braquage.

Un mode opératoire identique

Le mode opératoire colle en tout cas avec celui utilisé depuis plusieurs jours dans l'ensemble de la métropole lilloise par un braqueur en série.
« Le fait qu'il ait demandé la carte bleue et le code pour retirer de l'argent à des distributeurs pourrait démontrer qu'il s'agit du même individu , indique une source judiciaire. Si c'est le cas, c'est une première pour Bondues et la circonscription de Tourcoing. Mais ça peut être quelqu'un d'autre qui lit les journaux ».
Toujours est-il qu'une enquête a été confiée à la sûreté urbaine de Tourcoing. Mais les investigations pourraient être prochainement centralisées tant les plaintes se multiplient ces quinze derniers jours.

Braquages de coiffeurs : un suspect arrêté en Belgique

Sa spécialité, atypique : les braquages de salons de coiffure. Depuis plusieurs semaines, un homme sévit un peu partout dans le Nord, surtout dans la métropole lilloise, où une quinzaine de faits lui sont imputés. Policiers et gendarmes le cherchent. Mais c'est en Belgique qu'un Français de 42 ans a été interpellé vendredi 11 mai juste après un hold-up... de salon de coiffure. L'arrestation s'est produite à Limelette, à une trentaine de kilomètres de Bruxelles. ...

Contactée, la gérante du commerce a livré quelques mots : « Il a pris un rendez-vous le matin pour être coiffé l'après-midi. Quand il est repassé, il a dit "C'est un braquage". » La police et le parquet dont Limelette dépend étaient injoignables hier. Selon la presse belge, le braqueur s'est fait remettre le contenu de la caisse sous la menace d'un pistolet. Un client, s'étant aperçu que l'arme était factice, se serait lancé à sa poursuite. Aspergé de gaz lacrymogène, il serait parvenu à le rattraper et à le maintenir au sol en attendant la police. Le quadragénaire a été incarcéré à la prison de Nivelles.

Les enquêteurs français aimeraient bien sûr l'entendre. « C'est très probablement notre braqueur, tout correspond », constate le parquet de Lille, qui a ouvert mercredi une information judiciaire pour les faits commis en France. Un juge d'instruction est saisi. Une coopération avec la justice belge est en cours afin d'auditionner le suspect. Celui-ci est natif de Lille. Plusieurs adresses lui sont connues dans la région et en Moselle. Depuis trois semaines, il vivait semble-t-il à Molenbeek, près de Bruxelles.

La série de braquages a débuté, dans la métropole lilloise, courant avril. Des coiffeurs de Camphin-en-Pévèle, Baisieux, La Madeleine, Lille, Wattrelos, Wambrechies, Wattignies ou encore Bondues ont été attaqués. Ailleurs dans le département (Orchies, Le Quesnoy, Maubeuge...), d'autres salons ont été visés.

Le mode opératoire ? L'individu agit seul et à visage découvert. Souvent, il montre une arme dépassant de sa poche. Puis il demande la caisse, les téléphones portables et les cartes bancaires avec les codes. Parfois, il prend l'argent personnel des victimes et les enferme le temps d'effectuer des retraits. Le peu de butin emporté dans chaque cas, quelques dizaines voire centaines d'euros, explique peut-être sa persévérance.

Un salon de Coiffure de Mainvilliers (dept 28) a été jeudi après-midi la cible d'un individu armé. Vers 16h, un homme muni d'une arme à feu a braqué celle-ci sur la responsable de ce salon.

Le braquage n'a pas fait de blessé, aucun coup de feu n'ayant été tiré. Mais l'homme est reparti avec le fond de caisse, dont le montant n'est pour le moment pas déterminé.

Les enquêteurs de la Police de Chartres étaient sur place pour effectuer les constatations d'usage.

Le parquet de Colmar a ouvert hier une information judiciaire contre X après le vol à main armée commis vendredi soir dans un institut de beauté d’Ammerschwihr ( L’Alsace de samedi). Les gendarmes de la compagnie de Colmar vont poursuivre leur enquête sur commission rogatoire du juge Françoise Derouard. Les braqueurs sont repartis avec une faible somme d’argent, mais les deux employées ont été fortement choquées.

Deux hommes armés et cagoulés ont fait irruption dans le salon de coiffure à l'enseigne de JL David, avenue Charles de Liège à Binche, mardi en fin de matinée.

Les auteurs ont menacé le personnel et les clientes présentes puis se sont rendus dans l'arrière-boutique où ils ont obligé la patronne et une employée à s'agenouiller, avant de leur lier les mains et de réclamer l'ouverture du coffre-fort. Comme il n'existe pas de coffre, les auteurs se sont rabattus sur la caisse et les sacs à main des clientes. Ils ont notamment dérobé deux téléphones de marque.
Les malfrats ont ensuite forcé les femmes à se coucher au sol avant de disparaitre. Avisée des faits, la police locale s'est rendue sur place et a entendu les victimes, profondément choquées. Une enquête a été ouverte mais pour l'heure, les forces de l'ordre ne disposent que de peu pistes.

Le salon de coiffure de la place de la mairie a été victime d'un braquage violent, vers 17 h. Un homme est entré à visage découvert, avec une arme de poing. Il a menacé l'employée qui n'a pas voulu lui céder. Ils en sont venus au mains. Elle a été violentée. L'homme est parvenu à s'enfuir sans emporter d'argent. L'employée du salon de coiffure a été emmenée aux urgences.

Le braquage organisé par deux malfrats a tourné au fiasco, ce mercredi soir. Ces derniers avaient décidé de s’attaquer au salon de coiffure « Nic.Louwt », situé rue de Huy, à Waremme.

Le préjudice de ce cambriolage, le troisième dans ce salon de coiffure de Sainte-Suzanne, est estimé, avant expertise, entre 15 000 et 23 000 euros.